Huit heures trente tapantes, les poches de grain sur le dos, on empâte. S’en suivront quatorze heures de durs labeurs, entrecoupés de beaucoup de patience et surtout de persévérance. Il ne faut surtout pas abandonner, car si on le faisait, ce serait des milliers de dollars de profits qui retrouveraient le drain.
Source : Ode aux brasseurs | Ça Brasse!